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Les trois premiers exportateurs de marchandises vers les États-Unis

Les trois principaux exportateurs de marchandises vers les États-Unis au cours des sept premiers mois de 2023 ont été le Mexique, le Canada et la Chine.

En première position, le Mexique a exporté pour 274,95 milliards de dollars de marchandises, soit une augmentation de 5% en glissement annuel, selon les données du Département du Commerce.

Vient ensuite le Canada, avec des ventes sur le marché américain de 243,703 milliards de dollars, soit une baisse de 6,4% par rapport à la même période en 2022.

Enfin, la troisième place est occupée par la Chine, avec des exportations de 239,065 milliards de dollars, soit une baisse de 24,8%.

De janvier à juillet, les importations totales des États-Unis se sont élevées à 1,000 milliards 776,551 milliards de dollars, soit une baisse de 6,2% par rapport à l’année précédente.

En général, l’économie américaine influence fortement l’économie mexicaine et, par conséquent, la détérioration de l’économie américaine, le statut du USMCA ou d’autres événements connexes peuvent avoir un impact sur l’économie mexicaine.

Les conditions économiques du Mexique sont de plus en plus liées à celles des États-Unis, notamment par le biais des échanges commerciaux, des investissements, des envois de fonds et du tourisme.

Chaque année, au 31 décembre 2022, 82 % des exportations totales du Mexique étaient destinées aux États-Unis.

Exportateurs de produits

L’activité économique mondiale a continué de s’affaiblir au cours du premier semestre de l’année, les effets du resserrement monétaire passé et des conditions de crédit plus strictes ayant pesé sur la croissance.

Les faillites bancaires du mois de mars ont ajouté à l’incertitude du marché, mais les effets de contagion semblent être contenus pour le secteur.

Dans le même temps, l’inflation élevée aux États-Unis a diminué au cours du premier semestre, mais est restée supérieure à l’objectif de 2% fixé par la Réserve fédérale.

La Fed a relevé ses taux de 75 points de base en milieu d’année, portant le taux des fonds fédéraux à son plus haut niveau depuis 22 ans, puis a marqué une pause lors de sa réunion de juin pour évaluer les conditions économiques à la suite des faillites bancaires et du resserrement des conditions de crédit.

Enfin, la croissance de l’emploi s’est ralentie au deuxième trimestre par rapport à 2022, mais le taux de chômage est resté faible et a terminé le deuxième trimestre à 3,6%, le taux de participation à la population active ayant augmenté.

 

Redacción Opportimes

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