11 Octobre 2024

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Exportations brésiliennes de fonte, de fer et d’acier en 2023

10 febrero, 2024
Francés
A USITC publicará um relatório sobre o aço em janeiro de 2025

Les exportations brésiliennes de fonte, de fer et d’acier ont chuté à un taux annuel de 13,4% en 2023, pour atteindre 14,426 milliards de dollars, selon les données du Ministère du développement, de l’industrie, du commerce et des services.

Au niveau mondial, le Brésil s’est classé onzième parmi les plus grands exportateurs de ces produits.

En revanche, les exportations brésiliennes de fonte et d’acier ont augmenté de 16,8% en 2022, pour atteindre 16 661 millions de dollars.

La fonte et l’acier sont des éléments essentiels de l’industrie métallurgique et trouvent des applications dans divers secteurs, de la construction à la fabrication d’automobiles et de machines.

Exportations brésiliennes

Alors que le fer est utilisé comme matière première principale et peut provenir de minerais de fer tels que l’hématite ou la magnétite, dans les alliages d’acier, en plus du fer, d’autres éléments peuvent être ajoutés pour créer différents types d’acier aux propriétés spécifiques.

Quelles sont les principales destinations des exportations brésiliennes de fonte, de fer et d’acier en 2023 ? Tout d’abord, les États-Unis, avec 6 968 millions de dollars, soit une croissance de 1 % en glissement annuel.

Viennent ensuite la Chine (1,453 millions de dollars, +6,4%), l’Argentine (1,015 millions de dollars, +1,6%), les Pays-Bas (866 millions de dollars, +6,9%) et le Mexique (876 millions de dollars, +71,4%).

Émissions de carbone

Lors d’une réunion en mars 2023, les membres de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) ont discuté des implications de la prolifération des mesures de carbone et des défis auxquels sont confrontés les pays en développement. 

Dans ce contexte, les membres ont notamment discuté de l’importance de la coopération, de l’harmonisation et de l’adoption d’une approche commune pour calculer les émissions implicites; de l’interopérabilité des normes de décarbonisation et de l’utilisation d’accords de reconnaissance mutuelle (ARM) au niveau multilatéral ; de la nécessité de parvenir à un accord commun sur les produits sidérurgiques à faible teneur en carbone qui tienne compte des différents niveaux de développement, en particulier compte tenu de l’accès limité au financement de l’action climatique; et de l’importance d’inclure le point de vue des pays en développement. 

Le rôle de l’OMC en tant que forum de dialogue et d’échange d’approches a également été souligné, et la cohérence avec d’autres organisations et initiatives internationales a été encouragée.

 

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